Portrait chinois de Delphine créatrice de La fille du consul

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Comment ne pas vous faire partager son univers.
Ces créations sont pleines d’une fantaisie qui frôle la poésie journalière.
Je l’imagine le matin au soleil levant découvrant ce qui va lui donner l’inspiration.
Son thème « cerise  » va vous redonner les joues roses et l’envie de rire, de jouer à trouver des trèfles à 4 feuilles et de chanter coccinelle vole. Un instant d’enfance retrouvée.
Ces réponses m’ont donné l’impression de l’entendre et de la connaître.
J’espère que vous savourerez ses bijoux que vous pouvez trouver sur sa boutique en ligne, et que son blog deviendra un de vos favoris

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Qui est tu :
Delphine Roche de Montgrand , créatrice de  » La Fille du Consul »,  des bijoux sculptés ou petites sculptures à porter et autres objets  de curiosité.

Comment te définirais tu ?

Faussaire-illusionniste. ça n’existe pas, c’est un métier  imaginaire, mais c’est mon métier à moi.

Ce qui t’inspire ?
Tout ce qui m’entoure, la nature, la ville, les petits riens et les grands choses…

Ce qui te relaxe ?
Une tasse de thé, écouter Claudio Arrau jouer Chopin, regarder dans  le lointain les montagnes ou la mer, mais malheureusement je vis  trop loin des unes et de l’autre.

As tu un rituel porte-bonheur ?
Pas « porte-bonheur », je ne suis pas vraiment superstitieuse.
Un rituel du matin important: un jus d’orange frais pressé, une  théière d’Assam de chez Kusmichoff, des tartines de bon pain  beurrées avec de la confiture de myrtille ou du miel provençal, un  yaourt crémeux, et parfois même un oeuf à la coque.

Pour toi qu’est ce qui est indispensable ?
Pas trop de stress – qui me pétrifie, de la lumière et de très  bonnes nuits de sommeil dans le silence.

Pour toi quel est l’endroit le plus fun ?
J’aime les bords de la Seine, les quais et les ponts parisiens. Ce n’est pas exactement « à se tordre de rire », mais c’est agréable, et Paris reste pour moi l’une des plus belles ville au monde.

Si ta marque devait être une odeur ?

Difficile…  Si on pouvait mélanger l’humus de la forêt, le  chocolat et le pain d’épice, le parfum des malles de voyages,  rangées au grenier comme autant de malles aux trésors ayant fait le  tour du monde à des époques qui n’existent plus que dans le souvenir… Alors peut-être on trouverait une odeur correspondante.

Si ta marque devait être une chanson ?
Gling-Glo de Björk,
ou le petit bois de St Amand, de Barbara peut-être…

Le  ou les  mots clé de la création de ta marque ?
Ma devise : « Qu’il s’y trompe celui qui s’en pique »

Si tu avais dû créer un vêtement culte ?

Des jolies bottines solides, aussi campagnardes que citadines.

Ce que tu aimerais laisser comme trace de toi au monde futur :

Surtout pas trop de choses… il y a déjà tant sur terre! Si déjà je laisse un souvenir positif dans les mémoires, ce sera beaucoup.

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